Faustine venait indiquer au peintre comment elle voyait le Christ, rectifiant tous les détails.
Le regard baissé : « Mon regard sur cette image est le même que celui que j’avais sur la croix » (PJ, 326), avait confié Jésus.
La lumière la plus intense vient du cœur.
La lumière sur le front qui indique la présence du Père.
La position des pieds montre que Jésus vient vers celui qui le contemple.
La main droite bénit doucement.
Les deux rayons rouge et lumineux qui jaillissent du coeur sont inséparables: « Ces deux rayons indiquent le sang et l’eau: le rayon pâle signifie l’eau, qui justifie les âmes; le rayon rouge signifie le sang, qui est la vie des âmes. Ces deux rayons jaillirent des entrailles de ma miséricorde, alors que mon Coeur, agonisant sur la Croix, fut ouvert par la lance. (…) Heureux celui qui vivra dans leur ombre » (PJ 299).